jeudi 5 juillet 2007

Farfour est morte


Farfour la souris islamiste

La petite souris qui ressemblait un peu à Mickey et qui demandait à des enfants d'âge préscolaire palestiniens de tuer des Israéliens est morte (ou est partie dans la prison des sales Juifs) lors du dernier show... Heureusement la grande propagande haineuse continue sur la télévision palestinienne.
À noter dans le film ci-dessus que sur le drapeau israélien il n'y a même pas d'étoile de David.
Rigolo aussi l'histoire des Juifs qui ont "pris" Tel Al-Rabi.



Ci-dessus une photo de Tel Al Rabi couverte de fleurs et de palmiers quand "elle appartenait aux Palestiniens"



Tel Al-rabi aujourd'hui

FARFOUR DIES IN LAST EPISODE­(Jerusalem) Hamas-affiliated Al-Aksa TV, June 29, broadcast the last episode of its weekly children’s show featuring “Farfour,” a Mickey Mouse look-alike who made worldwide headlines preaching Islamic domination and armed struggle against Israel to youngsters. In the final skit, Farfour was beaten to death by an actor posing as an Israeli official trying to buy Farfour’s land. At one point, Farfour called the Israeli a terrorist. (Jerusalem Post, June 29)

vendredi 13 avril 2007

Une guerre de nouveau possible au Liban ?

Si l'ONU n'applique pas la résolution 1701, on risque de voir une nouvelle guerre entre le Hezbollah et Israël l'été prochain.
On l'a vu, avec les marins britanniques, l'Iran a pu démontrer à ses alliés libanais (et ailleurs) que les occidentaux ne bougeront pas si on kidnappe leurs soldats. Ils peuvent penser qu'israël ne repartira pas en guerre en cas de capture de ses soldats si les occidentaux font pression sur eux et si les médias occidentaux "travaillent" les opinions publiques comme ils l'ont fait l'été dernier.
Cette guerre pourrait être bien pire car il est possible cette fois-ci qu'Israël fasse déborder le conflit vers la Syrie pour arrêter la fourniture d'armes.
AB*
Ci-dessous un extrait d'un article du correspondant libanais de Menapress qui remet les pendules à l'heure.
----------------------------------------------------------------------------
Les prosyriens veulent la guerre, les autres préfèrent le Liban (info # 011304/7) [Analyse] Par Michaël Béhé à Beyrouth © Metula News Agency

(...) Dimanche dernier Sayyed Nasrallah, le Secrétaire général du Hezbollah, avait fait un discours fleuve dont les points d’orgue étaient l’incapacité du Liban à se défendre seul contre Israël et l’illégitimité du gouvernement ainsi que du parlement. Le Dr. Samir Geagea, le chef des FL, membre du courant du 14 mars et du gouvernement, a tenu mardi à lui répondre point par point. Voici, pour terminer mon papier, quelques morceaux éclairants de sa mise au point :
"Hassan Nasrallah veut convaincre tout le monde que l’Etat est incapable d’assumer les tâches qui lui incombent au Liban. Il commence son discours en affirmant, en effet, que l’Etat qui permet que le Liban soit envahi et que sa capitale soit occupée n’est pas un Etat. Il veut parler bien sûr de l’Etat de 1982, en faisant semblant d’ignorer que cet Etat était exsangue du fait de l’existence de groupes palestiniens armés qui spoliaient ses prérogatives. Et ce sont ces groupes qui ont été la cause de la décision d’Israël d’envahir le Liban et de parvenir jusqu’à sa capitale, alors que de 1949 à 1969, Israël n’avait jamais envahi le Liban ni atteint sa capitale.".

A propos du blocage du parlement : "Sayyed Hassan et ceux qui sont avec lui considèrent que la Chambre est illégitime. Ils pensent que seul le président de la Chambre est légitime. Voilà pourquoi ils estiment qu’il n’est pas nécessaire de convoquer les députés…".

Sayyed Hassan, vous êtes devenu un fardeau pour nous : "Sayyed Nasrallah affirme que la solution passe par le recours à l’opinion des gens. Je lui pose la question : le 12 juillet 2006, a-t-il demandé leur avis aux gens avant de capturer des soldats israéliens et de provoquer une guerre qui a coûté plus de 1 000 morts et dix à quinze milliards de pertes ? (…)

Il nous demande de retourner aux urnes. Nous l’avions fait, le 14 mars. Puis aux élections de 2005, puis les 14 février. Il n’a jamais rien accepté. Qui nous dit que cette fois-ci il accepterait ? Non. Nous ne jouerons pas à ce jeu avec Sayyed Hassan, car il ne respecte pas la règle de ce jeu.

Il dit qu’en 2000, lorsqu’il a commencé à être question du retrait israélien, des articles de presse ont laissé entendre que ce retrait signifierait la fin du Hezbollah car il lui retirerait la cause de son existence, comme si le motif de notre existence se limitait à un territoire occupé ici ou là.

Quelle est donc la cause de votre existence ? Ce n’est pas le territoire occupé ? En fait, Sayyed Hassan, nous connaissons depuis longtemps la cause de votre existence, mais nous attendions que la vérité apparaisse avec le temps. Mais c’est vous qui la dites. Nous savons que vous voulez libérer toute la Palestine et jeter les juifs à la mer, comme le dit tous les jours Ahmadinejad. Vous voulez aussi poursuivre le djihad et chasser les Américains de chaque recoin du monde islamique, du Maghreb jusqu’à l’Indonésie, non seulement militairement, mais aussi politiquement, économiquement et culturellement. Vous voulez libérer la Tchétchénie et puis, ultérieurement, récupérer l’Andalousie et puis après, vous verrez ce que vous ferez du reste du monde !

Ce que vous dites est donc vrai. Il reste que les Libanais n’ont rien à voir avec cela. Vous croyez dans la théorie de la grande oumma et vous voulez combattre en son nom. Vous pouvez le faire tout seul, mais pas sur le dos du peuple libanais. Le Liban est une entité indépendante en soi. Il ne vous est pas possible d’entraîner le peuple libanais dans la guerre ou dans la paix quand vous le décidez. Aujourd’hui, vous prétendez être une résistance. Mais plus de la moitié du peuple libanais ne veut pas de votre résistance ni des objectifs qui sont les vôtres. Nous n’acceptons pas que le Hezbollah se rende maître de notre destin, de celui de nos enfants et de notre patrie. Nous construisons et le Hezbollah détruit. Je vous le dis franchement, Sayyed Hassan, vous êtes devenu un fardeau pour nous.

Au nom d’une grande partie du peuple libanais, je dis que nous ne voulons plus de guerres désormais. Nous ne voulons plus de groupes armés hors de l’Etat. Nous ne voulons plus d’aventurisme. Il ne faut pas perdre l’espoir. Le Hezbollah va à l’encontre de l’histoire. Voilà pourquoi il ne pourra pas continuer ainsi".

lundi 9 avril 2007

Ce qui est admissible par le Comité des droits de l'homme de l'ONU et ce qui ne l'est pas

On sait que cette institution de l'ONU sert presque uniquement de tribune pour villipender Israël et obtenir le plus grand nombre de condamnations contre ce pays.
En fait Israël est historiquement le pays qui a été le plus condamné pour des violations des droits de l'homme. C'est même le champion toute catégorie de la condamnation, bien avant la Chine de Mao, la Russie de Staline, le Chili de Pinochet, la Lybie de Kaddafi, l'Iran des Ayattolah, l'Irak de Saddam, etc. Oui, vous avez bien lu...

Ci-dessous une vidéo qui illustre bien le problème lorsqu'un représentant d'une ONG se fait ramasser par le président de la commission.


Hillel Neuer le 23 mars 2007 à l'ONU

jeudi 5 avril 2007

Beaucoup d'optimisme

Ci-dessous, l'article de Lapid, paru dans le Jerusalem Post, nous offre un petit bol d'air d'optimisme et certains diront de naïveté. Mais bon, malgré la menace de l'Iran et du Hezbollah, les troupes syriennes qui s'amassent à la frontière, un gouvernement que presque plus aucun Israélien ne soutient, il faut reconnaître qu'Israël a fait du chemin depuis 60 ans.
AB*

Vive la difference
By YOSEF (TOMMY) LAPID

Amidst the despondency and doldrums engulfing us, we ought to ask ourselves if we haven't perhaps lost our perspective. We started out our national career - if I am not mistaken - as a tiny, miserable, threatened, isolated, destitute and sparsely populated country. Once, when a ship with flour was delayed in arriving, we were almost left without bread. Inflation wreaked havoc with the economy. Sallah Shabati was living in a tent. Don't even ask. Some might call it nostalgia. That there is no point in looking back 60 years in retrospect.

Okay. So let's look just 40 years back. When the Six Day War had just ended, after our brilliant victory, the Arab leaders gathered in Khartoum and published their three noes: no to negotiations with Israel, no to recognition of Israel, no to peace with Israel. And that was when we were willing to return all the occupied territories in return for peace. "I'm waiting for a phone call," Dayan said; but no one called.

Last week, the heads of the Arab countries gathered in Riyadh and sent us a message: Yes to negotiations with Israel, yes to recognition of Israel, yes to peace with Israel. True, they posed conditions that we cannot accept. Every negotiation starts with conditions that neither side can accept. But those unable to see the large - no, huge - difference between Khartoum and Riyadh do not understand the difference between the world then and today.

When the Czech rifle was the IDF's chief weapon, did anyone in Israel ever think, envision, dream that Israel would export military technology, not to Zimbabwe, but to the United States? When oranges were Israel's chief export, could anyone have foreseen that Israel would become a hi-tech superpower? When the state's first finance minister, Eliezer Kaplan, begged American Jews to send a few million dollars because the national coffers were empty, did we dare hope that one day our exports would exceed our imports and that foreign companies would invest in Israel to the tune of $24 billion a year? That inflation would drop to zero? Or that Israeli companies would open farms in Egypt and factories in Jordan? Who even imagined peace with Egypt or Jordan?

Yes, yes, I know. I know all the sarcastic reactions to my outpouring of Zionism. But just the same, one has to admit that despite the poverty at the bottom and the corruption at the top, despite the mistakes and failures in the Second Lebanon War, and despite the dangers posed to us from Iran, we perhaps should admit that life in Israel has never been better, that the vast majority of the population eats better, dresses better, lives better, travels farther, has more leisure time and feels better than in the past.

I am aware that an article of this kind is more suited to Independence Day than to Pessah. But I don't have the patience to wait until then because I am sick and tired of hearing the whining and wailing of the naysayers, the bitterness of the satiated citizenry, the self-hatred of the cynical media and the defeatist contempt for all that is good and beautiful in our lives. It is sad that it takes courage today to write about all that is good and beautiful in our lives.

dimanche 1 avril 2007

Et voilà le travail...

Écoles juives,écoles grecques
Lysiane Gagnon
La Presse, le 21 mars 2007

Tiens, tiens, le chat est sorti du sac et il ne se passe rien. Pas un mot, pas une réaction.

Vous souvient-il, lecteur, du gigantesque tollé qu'avait suscité, en janvier 2005, la décision du gouvernement Charest de financer à 100% les écoles privées juives? C'était le scandale du siècle, on en parle encore.

Vous souvient-il, lecteur, que cette décision reposait sur un précédent? En 1978, le gouvernement Lévesque avait octroyé le même statut à deux écoles privées grecques. Les Juifs ne faisaient que s'engouffrer dans une porte déjà ouverte depuis 27 ans, mais ce qui passait dans le cas des Grecs ne passait pas pour eux. Sous les opprobres et les hurlements de l'opinion publique, le gouvernement Charest battit en retraite.

Or, qu'apprend-on cette semaine? Les écoles privées grecques viennent de voir leurs privilèges reconduits. Elles resteront financées à 100%.

La Presse, jeudi 15 mars, page A-16: «Les écoles privées grecques de Laval vont continuer à être subventionnées, contrairement à ce qui avait été annoncé l'an dernier. C'est le ministère de l'Éducation qui a fait pression sur la Commission scolaire de Laval pour qu'elle prolonge les ententes la liant aux écoles grecques jusqu'en 2008.»

La Commission scolaire de Montréal aurait-elle aussi prolongé l'entente, mais dans le cas de Laval, c'est du ministère qu'est venue la pression. «La communauté grecque nous a sensibilisés» (sic), de dire la porte-parole du ministre.

Tiens, tiens, et cela se produit au beau milieu de la campagne électorale, alors que les libéraux tentent de reprendre au PQ le comté de Laurier-Dorion (l'un des bastions de la communauté grecque longtemps détenu par Christos Sirros).

Cela ressemble fort à une petite manoeuvre électoraliste pour faire plaisir à la communauté grecque, mais le pire, c'est le «deux poids, deux mesures». On finance à 100% les écoles grecques depuis près de trente ans, personne ne crie. Mais quand on pense à octroyer le même statut à des écoles juives, tout le monde déchire sa chemise, on parle d'accointances honteuses, de privilège acheté, de puissance occulte, bref c'est un autre complot juif.

Dans notre folklore politique, cet incident - une banale erreur politique qui a été démesurément grossie et a donné lieu, sur le web et ailleurs, à un déluge de propos antisémites - est encore considéré comme l'une des pires bourdes du gouvernement Charest

Cette semaine, on apprend que les écoles grecques gardent les privilèges que demandaient les écoles juives. Et personne ne réagit. Double standard

J'ai toujours été opposée à au financement public intégral des écoles religieuses privées, quelles qu'elles soient. Mais là n'est pas la question. On parle ici d'équité. Or, le cas des écoles grecques est beaucoup moins défendable que celui des écoles juives.

Ces dernières ont été fondées, on le sait, parce que les Juifs, même ceux qui à l'époque voulaient s'y intégrer, étaient exclus du secteur catholique et renvoyés aux écoles protestantes. L'histoire est de leur côté. Qui plus est, contrairement aux écoles juives, dont les standards académiques sont exceptionnellement élevés, le mini-réseau scolaire grec semble en très piètre état.

Dans les écoles grecques de Laval, 22 des 102 enseignants n'avaient pas de permis d'enseigner l'an dernier. Il y a quelques années, un dirigeant de l'école Socrate a été accusé d'avoir effectué pour 24000$ d'appels érotiques et en juin 2005, ses enseignants faisaient grève faute d'avoir été payés. À l'école Démosthène, le nombre d'élèves a fondu de moitié en huit ans. Selon la Commission consultative de l'enseignement privé, la communauté hellénique, titulaire du permis de ces écoles, a un déficit accumulé dépassant 10 millions$, et son taux d'endettement serait de 976%.

Mais surtout, les écoles grecques n'ont même pas respecté leurs engagements. En échange des subventions, elles devaient s'engager à mettre sur pied des programmes d'intégration de leurs élèves à la majorité française. Avec, on présume, quelque obligation de résultat

Or, après 30 ans, alors que la communauté juive est extraordinairement bilingue (tous ses jeunes le sont et le réseau privé juif enseigne intensivement le français), la communauté grecque reste fortement anglicisée, et la moitié des jeunes se dirigent vers l'école anglaise une fois sortis de l'école grecque. En 2005 déjà, la CSDM laissait savoir qu'aucune activité conjointe n'avait été organisée avec l'école Socrate depuis des années, et cela semblait être aussi le cas de l'école Démosthène à Laval.

Deux poids, deux mesures

jeudi 22 mars 2007

Ma chanson de la journée...

1973, l'image est un peu pourrie, la fin de la chanson est coupée, mais les solos de guitares sont trop drôles.

Depuis qu'il y a un embargo les Palestiniens reçoivent... plus d'aide financières !

Autant regarder les faits plutôt que d'écouter la propagande :

AID TO PALESTINIANS ROSE IN 2006—(Jerusalem) Despite the international embargo on aid to the PA since Hamas came to power a year ago, significantly more aid was delivered to the Palestinians in 2006 than in 2005, according to official figures from the UN, U.S. European Union and International Monetary Fund. Instead of going to the PA, much of the money was given directly to individuals or through independent agencies like the World Food Program. The IMF and the UN say the Palestinians received $1.2 billion in aid and budgetary support in 2006, about $300 per capita, compared with $1 billion in 2005. While the U.S. and the EU have led the boycott, they, too, provided more aid to the Palestinians in 2006 than 2005. Washington increased its aid to $468 million in 2006, from $400 million in 2005. (New York Times, March 21).

mardi 13 février 2007

Droit dans le mur

À lire : Ambiguïté créatrice de François Brousseau

Une analyse de plus qui demande aux Israéliens de faire comme s’ils n’entendaient pas que le Hamas veut les rayer de la carte. On sait où cette politique a déjà mené avec Arafat : droit dans un mur.

Une paix ne peut pas se bâtir sur des demis vérités ou des menaces d’éradication. Arafat faisait son travail de communications subtilement en parlant de paix aux médias occidentaux et de guerre et de martyrs aux médias arabes.

À la différence d’Arafat, on ne peut pas accuser le Hamas d’hypocrisie ni aux journalistes de ne pas faire leur boulot de traduction ou de revue de presse de base. Le Hamas se refuse à reconnaître la légitimité et le droit d’existence de l’état d’Israël (pardon, de l’entité sioniste) sur tous les tons et dans toutes les langues. Comme Québécois, je n’accepterais pas que dans une discussion sur l’avenir du Québec on ne reconnaisse pas mon existence ou ma légitimité ou seulement de facto. Et je ne voie pas comment, en répondant par du « pragmatisme » ou de la « diplomatie » je pourrais amener une quelconque évolution de l’autre alors que je ne ferais que lui confirmer mon inexistence.

Le droit du peuple juif à l’autodétermination n’est pas l’objectif de la négociation mais son début. Si on ne reconnaît pas que les Juifs forment un peuple ni leur légitimité sur cette terre, la discussion peut s’arrêter là. Parce qu’en ne reconnaissant pas l’autre, on s’oblige à parler tout seul. C’est vrai que cela peut être « créatif » mais seulement si le but c’est de créer l’autisme.

Les dernières contorsions du Hamas à la Mecque ne servent qu’à sauver son gouvernement, en espérant que les Européens brisent son isolement en ouvrant de nouveau les robinets financiers. La France est déjà à moitié convaincue, (qui s’en étonnerait ?), et Douste Blazy ne demande qu’un autre petit pas pour redevenir le champion de la cause palestinienne. Abbas semblent avoir gagné plusieurs points en mettant le Hamas au pied du mur et en grignotant un peu de terrain dans son gouvernement. Si l’argent n’arrive pas, il aura le beau jeu de montrer l’incapacité du Hamas à gouverner ou à gagner la moindre légitimité sur la scène internationale.

Quand à la paix quelque soit le type d’accord, Israël devrait exiger que l’ensemble des pays signataires fassent approuver l’entente par leur population dans une large proportion. Ce scénario obligerait les Palestiniens, pour avoir la paix, à procéder à un virage à 180 degrés dans le ton et les contenus diffusés dans leurs quotidiens, leurs clips vidéos, leurs journaux télévisés, leurs émission pour enfants et leur manuels scolaires pour faire accepter la légitimité de l’état d’Israël. Seul ce travail considérable parviendrait peut-être à modifier les mentalités palestiniennes et à faire accepter ce qui leur semble pour l’instant inacceptable.